La sophrologie existentielle
Dans les années 60, Alfonso CAYCEDO, neuropsychiatre colombien, nous a offert et transmis une nouvelle science qui étudie la conscience* humaine.
Se rapprochant des origines et des sources issues de part le monde, par des pratiques occidentales (Schultz, Jacobson, l’hypnose…) et orientales (yoga, zen…), le professeur a donné naissance à la SOPHROLOGIE.
De son étymologie grecque,
SOS : exempt de maladies, équilibre, harmonie
PHREN : diaphragme, âme affective et par extension, esprit, conscience
LOGOS : science, étude, discours
Alfonso CAYCEDO définit la sophrologie comme étant :
« L’École étudiant la conscience humaine en harmonie. »
Animée par son courant philosophique, « la phénoménologie », la sophrologie existentielle, nous invite à faire un pas de côté, à observer les phénomènes qui apparaissent, sans jugement.
« Comme si je découvrais le monde pour la première fois ».
Basée sur les techniques de la respiration et la relaxation dynamique, la sophrologie intervient dans un cadre prophylactique, parfois même thérapeutique, dans la relation, pour nous permettre d’être en harmonie avec nous mêmes et notre environnement.
Cet ensemble de techniques vise à renforcer notre potentiel, notre force, notre énergie vitale et d’en percevoir notre mise en mouvement, vers de nouveaux possibles, sans jugement, dans l’acceptation de ce qui est « là, ici et maintenant ».
Par des entraînements réguliers, sa pratique nous invite à une certaine transformation, dans le mouvement de la vie.
« Ainsi, par les entraînements, plus JE prends conscience de mon existence et plus JE prends CONSCIENCE de ma manière de vivre, ET plus j’augmente mon espace de Liberté. »
*Conscience : force qui intègre les différents éléments tant physiques que psychiques d’une personne.
ETHIQUE ET CONFIDENTIALITE
Extraits du code de déontologie du Sophrologue Praticien :
« Le sophrologue s’engage à respecter les cadres et les principes généraux de la méthode. Il respecte les valeurs que défend la sophrologie : responsabilité, tolérance, respect de la liberté individuelle et de la dignité humaine…
Il exerce son activité sans aucune discrimination d’âge, de sexe, de race, de religion ou d’appartenance politique.»
« Le sophrologue est tenu au respect absolu du secret professionnel envers ses patients, de manière à assurer la protection du cadre d’exercice professionnel. Dans la conduite des groupes, il informera les participants de l’extension du secret professionnel à chacun d’eux.
Le secret professionnel ne pourra être levé que dans le cadre des dispositions prévues par la loi.»